C'est peut-être la longue saga des potions néolibérales imposées à des États en difficulté qui a inspiré à l'économiste Jacques Généreux le néologisme déconnomie dans son dernier ouvrage ''La déconnomie : Quand l'empire de la bêtise surpasse celui de l'argent'' (Seuil).
Certes, cela fait déjà belle lurette que le mythe de la rationalité des agents économiques est battu en brèche, mais il décortique ici avec perspicacité les mécanismes psychologiques à l'oeuvre quand on ne change ...