Dans le JDD: [...] la délégation américaine, venue exprès à Paris rencontrer l’équipe de transition de François Hollande, a été, sur ce point, assez claire. "Leur intérêt massif, c’est que la zone euro n’implose pas", note un diplomate français.
Fait remarquable, en dépit de la crise, ce changement massif de paradigme de la part de nos amis américains chez qui régnait en 1999, quelques mois avant le lancement de la monnaie unique, le sentiment unanime que ce serait un avion qui ne volerait pas.
Rappelons tout de même que l'euro est deuxième monnaie au monde pour le montant des transactions, derrière le dollar américain, mais depuis octobre 2006 la première monnaie au monde pour la quantité de billets en circulation, avec 610 milliards d’euros (source Wikipedia)