Nota : Cet article fait suite à "
De l'Etat souverain à l'Etat soumis "
Les abandons de pouvoir (monétaire, douanier), ainsi que les dérégulations et privatisations consentis par la puissance publique depuis bientôt une quarantaine d’années, ont laissé le champ libre à un libéralisme outrancier (« ultralibéralisme »), livrant l’économique et le social aux engouements erratiques d’une finance spéculative hypertrophiée, opaque et moutonnière.
Aux antipodes de la prospérité et de l’harmonie que promettaient ses ...